Le syndrome de « banner blindness », l’usage croissant d’adblockers et la migration vers le mobile sont autant de rejets publicitaires poussant aujourd’hui les annonceurs à revoir leurs campagnes de publicité online. Pour répondre aux nouvelles attentes des utilisateurs, le native advertising a prouvé son efficacité.
Business Actu fait le point sur cette publicité online nouvelle génération !
Qu’est-ce-que le native advertising ?
La fin des années 2012 a été marquée par une prise de conscience massive des évolutions du contexte publicitaire. La baisse progressive de l’efficacité des formats classiques de publicité (bannière, habillage, pop-up), l’installation croissante d’adblokers destinés à bloquer la publicité sur le navigateur ou encore la migration vers le mobile ont traduit une forme de rejet des campagnes de publicité en ligne. A titre d’exemple, le taux de clic sur les publicités est passé de 10% environ en 2000 à moins de 0,01% en 2014.
La mise en place d’une campagne de native advertising s’impose alors ! Cette nouvelle mutation de la publicité online privilégie le contenu de qualité. Désormais, la publicité est mieux intégrée au contenu des sites.
L’objectif de la publicité en ligne n’est plus d’envahir l’espace disponible, mais plutôt de venir compléter naturellement les informations d’un site, en lien avec les intérêts des utilisateurs.
Ne gênant plus l’expérience utilisateur, les Native Ads permettent de prolonger l’engagement de l’internaute.
Quels formats pour les Native Ads ?
Les Native Ads se retrouvent :
- Dans les pages de résultats de recherches Google. Ils s’agit des annonces Google Adwords.
- Sur les réseaux sociaux via les posts sponsorisés (Facebook, Twitter ou encore Instagram).
- Intégrées à une stratégie de contenu. Les produits d’une marque sont alors intégrés de manière intelligente au sein d’un contenu riche, comprenant des images, des infographies ou encore des vidéos.